Une bonne semaine
Dans cette période où aux habituelles incertitudes économiques s’ajoutent les incertitudes sanitaires, la semaine écoulée a apporté différents éléments de nature à rassurer.
Dans cette période où aux habituelles incertitudes économiques s’ajoutent les incertitudes sanitaires, la semaine écoulée a apporté différents éléments de nature à rassurer.
Le thème d’une « deuxième vague » était dominant au début de l’été, charriant avec lui la nécessité de réintroduire des limites strictes aux interactions sociales, il n’est toutefois pas le plus approprié aujourd’hui.
Mon analyse, après trois semaines de vacances sans lettre hebdomadaire à rédiger, est que le pire est derrière nous, du moins pour le monde économique développé.
La reprise est en cours mais l’augmentation du nombre de cas de contamination, en particulier aux États-Unis, fait trébucher les bourses.
Californie, Texas, Floride, Brésil, Mexique, Inde et peut-être Chine : la pandémie Covid 19 n’est pas maîtrisée. Elle touche de nouvelles zones et menace de repartir là où le déconfinement a été trop rapide.
Pas de quoi s’étonner : après le record du S&P le 20 février, la diffusion du virus en occident et le confinement qui en a résulté ont entraîné une chute de 35,41% à 2 191 points le 20 mars, progressivement ensuite l’espoir que la récession soit de courte durée et
La série des publications économiques de la semaine, chacune un peu meilleure qu’attendu, s’est terminée en apothéose vendredi avec l’énorme surprise qu’a constitué le rapport mensuel sur l’emploi américain du mois de mai.
Cette semaine a marqué une nouvelle étape dans la restauration progressive de la confiance dont la hausse des marchés a été la démonstration.
Les nouvelles commandes de l’enquête PMI Markit pour l’Eurozone qui sont un bon indicateur du momentum des marchés actions, progressent en mai de 14,7 pts à 28,4 vs 13,6.
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